Mondialement connu pour l’exportation de pétrole, le Gabon connait aujourd’hui une stabilité économique incontestable et affiche de bons indicateurs économiques positifs. Si leur PIB a donné en 2013 une croissance de 5,5% et de 6,7% en 2014, les acteurs économiques gabonais prévoient quant à eux une hausse de 8,5% pour l’année prochaine. Sachant que cette croissance impressionnante constitue à la fois le domaine de l’exportation et celui de l’importation.
Le secteur économique au Gabon
Gabon est un pays d’Afrique centrale, situé sur l’Equateur entre le Cameroun, Guinée et le Congo. Il a été connu auparavant par l’exploitation d’uranium et se forge actuellement dans le gisement de pétrole. Parmi ses incubateurs économiques, on retrouve un certain nombre de grandes entreprises spécialisées dans le domaine de l’énergie, hydrocarbures et les mines. Il existe actuellement, au Gabon, de nouvel incubateur multisectoriel pour les jeunes entreprises, situé au Libreville. Leur principal objectif étant d’apporter une assistance technique auprès des porteurs de projets de création d’entreprise et des entrepreneurs ayant une activité viable et durable. Sachant que cet accompagnement vise non seulement à promouvoir le développement et financement des PME au Gabon, mais incite également les jeunes entrepreneurs à participer au développement de l’économie gabonaise.
Vision 2015 de l’économie gabonaise
Le rapport macroéconomique de Gabon durant le premier semestre 2014 a été satisfaisant, ce qui annonce déjà une prévision plutôt positive pour l’année prochaine. En 2013, la majorité du secteur primaire a connu une forte croissance de leur PIB avec des résultats appréciables, malgré quelques difficultés techniques auprès des opérateurs. De même, les secteurs secondaire et tertiaire se sont également accrus, et ce, grâce à une demande soutenue du marché domestique. Pour 2015, la CEMAC ou Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale estime une croissance de 8,5% avec une progression de 12,9% en matière d’investissement privé. Cette évolution est notamment favorisée par la maîtrise des dépenses fiscales, l’amélioration des capacités de recouvrement de services et surtout des outils de travail dans le domaine de la finance.